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mardi 11 février 2014, par
Vous trouverez ci-après des ouvrages divers se présentant sous forme « souple » ; d’où leur classement spécifique dans cette rubrique.
La bibliothèque est réservée uniquement aux adhérents et chercheurs du collectif d’animation.
Les livres sont à consulter sur place.
« Retrouvez l’histoire et le descriptif du Grand Blockhaus, ancien poste de commandement du mur de l’Atlantique.
Découvrez les événements majeurs qui se sont déroulés dans la région de Saint-Nazaire durant la Seconde Guerre mondiale.
100 documents, plans et photos pour vous souvenir de votre visite au Grand Blockhaus, musée de la Poche de Saint-Nazaire. » Quatrième de couverture du fascicule « Guide souvenir - Le Grand blockhaus : Musée de la Poche de Saint-Nazaire »
Copie du cahier N°2 de l’Association de Recherches et d’Études du Mouvement Ouvrier de la Région de Saint-Nazaire (AREMORS).
Il s’agit d’une étude menée par cette association locale sur la Poche de Saint-Nazaire, sa formation, la vie à l’intérieure, la Résistance, les forces en présence, sa libération et son état.
Ces deux parutions sont épuisées.
Le cahier N°5 a été reconstitué à partir du texte original et des pages scannées.
Il est disponible en téléchargement sur ce site avec l’aimable autorisation de l’association que nous remercions.
Les deux cahiers peuvent être consultés en format papier.
Télécharger le Cahier de l’AREMORS n°5
« En juin 1943, Claude Gonord, un jeune résistant nantais du service de renseignement Eleuthère est recherché par la Gestapo à la suite d’un acte de sabotage. Il intègre ensuite le Service national maquis et reçoit de ses chefs l’ordre de constituer un maquis en Loire-Inférieure.
Son futur beau-père lui présente Pierre Martin, un ancien poilu qui cache dans sa ferme, aux Touches, des jeunes requis pour le Service du travail obligatoire (STO). Claude Gonord qui se fait passer auprès de lui pour un réfractaire, est admis aux battages. Mis en confiance par son environnement, Claude Gonord dévoile alors à Pierre Martin la véritable raison de sa présence à la ferme de la Maison Rouge : créer un maquis.
Ainsi, le 5 juillet 1943, le maquis de la Maison Rouge est officiellement créé aux Touches. Très vite, un groupe d’une trentaine d’hommes est constitué. Le 16 octobre 1943, deux délégués militaires régionaux envoyés par le général de Gaulle passent en revue les maquisards. C’est le premier maquis du département à être homologué par Londres. Il forme en juin 1944, avec d’autres groupes-maquis du département, le maquis de Saffré, qui sera attaqué par la Gestapo et la Milice le 28 juin.
A l’occasion du 70e anniversaire de l’homologation du maquis de la Maison Rouge, la mairie des Touches, en partenariat avec l’ONACVG, le Comité du Souvenir de Saffré et les associations Histoire et patrimoine et Honort rendent hommage aux maquisards lors d’une journée commémorative. » http://www.onac-vg.fr/fr/actualite-mimc/details/id:355/
« J’ai une vraie histoire à vous raconter, celle d’une petite fille qui a vécu la guerre de 1939-1945 entre notre pays et l’Allemagne. À l’école on vous enseigne celles du passé lointain et de la prise de la Bastille. Mon histoire n’est pas celles-là, vous ne l’apprenez pas à l’école. J’ai 90 ans. Cette histoire, il faut que vous la connaissiez car elle peut vous rendre service et bâtir votre vie, sans guerre !
J’éprouve aussi le besoin de vous dire combien cette première grande guerre mondiale a faut naître le racisme que j’ai vécu à la deuxième guerre mondiale et que je vis encore. Le rejet de l’étranger, vous connaissez cela, vous les jeunes ?
Vous les jeunes, bâtissez un monde de paix, d’acceptation des autres quels que soient leur couleur de peau ou leur accent, vous le pouvez, j’en suis sûre.
Tout se bâtit. C’est la raison pour laquelle, je vous rappelle les lois sociales qui ont été créées, militez pour les maintenir. » Préambule du fascicule « Mémoires 1944 : Jeunes, Mobilisez-vous pour la paix »
« Regards sur le dessin de résistance à travers les collections du Musée de la Résistance nationale à Champigny-sur-Marne » Première de couverture du fascicule « Dessiner pour résister »
Article intitulé « « Lobby juif » la polémique » page 42.
Ce supplément a été édité à l’occasion du cinquantenaire anniversaire de l’Appel du 18 juin 1940. Vous y retrouverez des photographies, des cartes et notamment le fac-similé du brouillon de l’Appel du18 juin1840.
Vous y retrouverez divers articles dont « Témoignages des jeunes français libres en1940 aux jeunes français de 1990 », « L’école militaire des cadets » et « Célébration du centenaire de la naissance du général de Gaulle et du cinquantenaire de l’Appel du 18 juin 1940 à Paris ».
« 1940-1950, dix années qui bouleversèrent la France.
Dix années qui débouchèrent à Yalta sur le partage du monde.
Dix années qui firent de la Normandie le plus grand porte-avions des troupes alliées.
Ruines, misère, morts, résurrection d’un pays et d’une région, l’Ouest, qui luttèrent pour la liberté. Une liberté chèrement payée dans la paix retrouvée.
« Le pain noir » et « La renaissance », deux tomes réunis dans cet ouvrage, évoquent notre vie quotidienne durant ces dix années. » Quatrième de couverture du fascicule « Les années 40 : du pain noir à la renaissance : la vie quotidienne de 1940 à 1949 »
Recueil de poèmes écrits par Jean Nocher durant sa détention.
Ce fascicule retrace l’histoire de la libération de Blaye. Il est agrémenté de photographies, de dessins et d’affiches.
Ce fascicule retrace l’histoire de l’occupation de Blaye. Il est nourri de photographies et autres documents d’archives.
Dans ce fascicule est évoqué « Le système concentrationnaire », « Brèves indications sur les principaux camps », « Historique du camp de Natzwiller-Struthof » ainsi que le « Bilan de la déportation ».
« Le Général Guillaudot dévoile aujourd’hui ce mystère, et démasque les authentiques auteurs du « complot » : les potentats sans crédit et les politiciens sans mandat qui ne sont plus que les démarcheurs des intérêts partisans, et se servent de la France au lieu de la servir. » Extrait de la Préface de Jean Nocher du livre « Criminels de paix »
« L’hôtel de la Poste fut le nouveau foyer artistique de l’après grande guerre, dans les années 1920 à 1940. [...] L’Hôtel de la Poste a attiré de grands noms de la musique, chanson, cinéma, littérature, photographie : Clairin, Asselin, Vaillant, Mac Orlan, Vlaminck, Jourdan, Fernand Jobert, les frères Lachaud (l’architecte et le peintre), Yves Mirande, Paul Fort, Mac Orlan, Max Jacob, Alan Stivell, Gilles Servat, Glenmor, Huart et Xavier Grall... » http://www.pontaven.com/Julia-Correlleau